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2 février 2010 2 02 /02 /février /2010 09:16
Par ce froid matin de Janvier, la section du 15ème, dont  Louis PAGAN, Anne DI MARINO et bien sur Rébia BENARIOUA, est sur le pont...comme à son habitude.
    
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      Un peu de chaleur amicale partagée au Café de la Gare, dont le nom retrouve tout son sens avec le doublement de la voie réalisée par la Région et la réouverture de la gare de Saint Antoine, avant le départ dans rues et cités pour convaincre.... 




Rébia BENARIOUA
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28 janvier 2010 4 28 /01 /janvier /2010 08:56
Je voulais ici honorer à mon humble niveau la mémoire des hommes, femmes et enfants  juifs exterminés dans ces camps de l'horreur que j'ai eu à visiter.
J'avais accompagné  Monsieur GUERINI Président du Conseil Général, Monsieur Remy BARGES Directeur de Cabinet ainsi que
Monsieur Richard EOUZAN Conseiller Général et de nombreux enfants afin qu'eux non plus n'oublient jamais.


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Encore une fois ne pas oublier l'Holocauste c'est nous dire et nous penser humain et frère sur cette terre.

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Et comme le dit un proverbe arabe "On ne reçoit rien d'un poing fermé".

Rébia BENARIOUA
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27 janvier 2010 3 27 /01 /janvier /2010 16:15
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 L'équipe de Monsieur BENARIOUA étaient sur le pont pour l'opération du même nom afin de lancer comme il se doit la campagne des régionales sur notre canton. 


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Une rencontre des commerces au Castellas a été organisé ce jour, ainsi qu'avec les citoyens à la Poste Notre Dame, à la Pharmacie de la Solidarité. Enfin un boitage a été effectué au Castellas, sur l'Avenue de Saint Antoine ainsi qu'à la traverse de la Batterie, les villas bordant l'autoroute et à la Solidarité.

Rendez-vous à 8h45 ce week-end au Bar de La Gare, avenue de Saint Antoine pour être sur le terrain de 9h30 à 12h et pour battre le pavé et défendre nos idées. 

Rébia BENARIOUA





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27 janvier 2010 3 27 /01 /janvier /2010 15:41

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En action chaque jour, au profit de chacun

Vous m’avez élu depuis bientôt deux ans.

Il est temps de revenir sur mon travail et mes engagements.

Jean Noël Guerini, président du Conseil Général m’a confié
 une délégation essentielle celle de délégué soutien aux centres sociaux
. Je suis chargé de la politique sociale du conseil général. Les centres sociaux représentent pour beaucoup la première interface entre les institutions publiques et nombre de citoyens. Je me consacre à enrichir l’offre de services dans un cadre difficile ou l’état ne tient plus ses engagements.

Mais je rappelle
 les autres attributions du Conseil Général
. Ce dernier investit tout particulièrement dans la cohésion sociale. Cet objectif est d’autant plus revendiqué par le département que depuis la dernière loi de décentralisation du gouvernement de Jean Pierre Raffarin le conseil Général doit assurer de plus en plus de missions sociales sans que le gouvernement ne lui donne en retour les budgets nécessaires (Exple : le RMI, services techniques de l’éducation nationale, routes nationales, soutien aux handicaper,…). Soutenir les populations fragilisées.

Le budget de l’
action sociale 
dépasse les 1 milliard d’Euros sur un total de 2.2 milliards d’Euros.

- L’APA
 
(Allocation personnalisée d’autonomie) : Cette allocation a pour vocation d’aider les personnes agées dépendantes. L’état nous aide de moins en moins. En 2003, 41.7 % de ces dépenses étaient assurées par l’état. Actuellement, nous en sommes qu’à 30.6%. Le conseil général a fait le choix de maintenir la même qualité des soins et ce grâce à la bonne gestion de Jean Noël Guérini. Nous avons pu trouvé les 78 millions d’Euros manquants.

- Le conseil général assure le salaire de
 8600 auxiliaires de vie
.

-
 Prestation de Compensation du Handicap 
(PCH) : le conseil général a soutenu cette loi, bien que le gouvernement en la votant n’avait pas prévu son financement. Sans l’aide de l’Etat, le conseil général a donc trouvé de quoi financer le surcoût. La collectivité territoriale désire que les handicapés soient considérés comme des citoyens ordinaires.

- Le
 RMI 
(Revenu minimum d’Isertion) : La grande réussite du Conseil Général est d’avoir diminué le nombre de Rmiste. Ce résultat s’explique par 2 raisons : l’action volontariste d’insertion des Rmistes par l’activité économique et une lutte sans merci contre les fraudeurs. L’aide sociale est un droit pour tous, mais c’est un droit qui doit-être respecté.

- 27 maisons départementales de solidarité aident au dépistage des maladies graves et à la prévention.

- Aide à l’équipement des hôpitaux.

L’éducation


-
 Ordina 13 : la Droite a beaucoup critiqué que l’on fournisse à chaque collégien de 4ème et 3ème un ordinateur portable. Pourtant cette mesure a permis de faire entrer dans tous les foyers l’informatique. Chaque enfant participe à égalité à la révolution numérique source des emplois d’aujourd’hui et de demain.

-
 Aide à la vie culturelle
, sportives et scolaires des élèves : Aide aux devoirs, chèques resto-collèges, chèques culture et sport, l’attitude 13, transports scolaires gratuits, ….

- Entretien et constructions de noveaux collèges.

Un aménagement équilibré du territoire.


- Aides à 119 communes des boûches du Rhônes : réfection école, espaces verts, ..etc

 - 500 millions d’Euros ont été versés à la commune de Marseille. Malgré la gestion désastreuse de l’équipe de Jean Claude Gaudin, nous aidons Marseille, parce que la ville en a besoin. Nous participons même à la construction du tramway alors que la collectivité réprouve son tracé (Pas de dessertes des quartiers nord).

 - Amélioration des dessertes interurbaines (Exemple : doublement de la voie Aix - Marseille) Une politique volontariste de développement économique Le chômage diminue mais ce n’est pas suffisant.

 - Soutien au développement du port de Marseille, vecteur du développement. L’activité portuaire doit-être facilité au détriment des politiques balnaires et immobiliaires. Nous devons améliorer l’interface port-rails et port-routes. - Financement de la recherche avec la création de pôles d’excellence.

 - Partenariat avec le sud de la méditerranée dans un état d’esprit de codéveloppement.

- Soutien d’une agriculture de qualité sans OGM.

Mais je tiens à rappeler
 la bonne gestion du président Jean Noël Guerini. En effet, toutes ces missions sont assurées sans augmentation des impôts, puisque l’endettement est de 160 millions d’euros. Soit 87 euros par habitant alors que la moyenne nationale et de 320 €. Je peux opposer cette bonne gestion à celle de la ville de Marseille où l’endettement atteint cette fois ci le chiffre ahurissant de 2250 €/habitants. C’est pourquoi je tiens à souligner l’aide de 500 millions d’euros promis par Jean Noël Guerini à la ville de Marseille. C’est d’abord, nous, les citoyens du canton de Notre Dame Limite qui en profiteront. Et nous en avons bien besoin.

Rebia Benarioua

 

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26 janvier 2010 2 26 /01 /janvier /2010 13:58
Voici un article paru dans la Provence ce jour et faisant état de l'implication de Monsieur BENARIOUA dans le domaine des transports et surtout sur un secteur peu ou pas desservi.
Etaient présents Madame GHALI, Madame APERCE, Monsieur ZERIBI, Monsieur CASELLI et Monsieur JIBRAYEL.

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Le secteur de l'Estaque fait partie de ces "zones grises" où les transports publics sont trés peu étoffés alors que certain ont la chance de voir leurs lignes de métro dédoublées par le tramway !

En espérant pouvoir continuer en ce sens et nous battre pour un service public de qualité et pour tous je vous dis à bientôt.

Rébia BENARIOUA
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20 janvier 2010 3 20 /01 /janvier /2010 18:58
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A la demande de certains de mes amis, dont vous faites partie et qui consulte de plus en plus nombreux mon blog, j'ai décidé d'exposer ici quelques axes de réfléxions sur lesquels j'essaie de baser mes actions. Je vous invite vivement à faire vos commentaires. 
C'est un résumé d'un article de M. JULLIARD qui me semble intéressant à travailler ensemble.

1. Nous vivons un nouvel âge du capitalisme. Après l’ère des managers, voici venue celle des actionnaires. Les détenteurs du capital, longtemps silencieux, ont mis au pas les gestionnaires, qui s’appuyaient sur leur expertise technique. Les seconds pouvaient avoir le sens de l’intérêt général ; ils s’accommodaient de certaines formes de régulation et négociaient avec les syndicats la répartition de la plus-value. Les actionnaires, au contraire, se désintéressent de l’objet même de leur investissement ; ils réclament des profits immédiats et énormes, jusqu’à 15% du capital investi. C’est pourquoi ce nouveau capitalisme consacre le triomphe de l’hyperlibéralisme. Il est de nature essentiellement financière et bancaire, le plus souvent déconnecté de l’économie réelle. Il est donc avant tout spéculatif. Il est à l’origine de la crise mondiale que nous traversons.

2. Ainsi le nouveau capitalisme a choisi de ressusciter son pouvoir de classe dans sa nudité. Il s’est installé à la faveur de l’effondrement des régimes communistes. Sans concurrence ni contestation, il a pu imposer ses exigences sans en craindre des conséquences politiques et sociales. Il a multiplié les licenciements spéculatifs, les délocalisations, sans redouter les réactions exclusivement défensives de la classe ouvrière. Il a éliminé toute concertation globale, tant avec l’Etat qu’avec les syndicats. Dans le domaine bancaire, il s’est lancé dans une fuite en avant sans précédent, multipliant les spéculations risquées et inventant des produits financiers dérivés sans contrepartie économique réelle. Sans égard pour les situations sociales souvent dramatiques qu’il suscitait, il a fait sauter le vernis de civilisation qui, depuis la Seconde Guerre mondiale, recouvrait le capitalisme évolué.

3. C’est à la faveur de la mondialisation de l’économie qu’un grand coup de force intellectuel et social a pu être exécuté sans coup férir. Le capitalisme financier a su tirer parti de l’ouverture des marchés émergents, mettre en concurrence les travailleurs à l’échelle internationale pour faire pression sur les salaires. Il s’est imposé comme la seule hyperpuissance à l’échelle planétaire, au détriment des Etats.

4. La déréglementation de la production, des marchés et des services, dont Ronald Reagan, Margaret Thatcher et George W. Bush ont été les agents les plus actifs, n’a pas tardé à produire ses effets néfastes, rendus visibles par la crise financière commencée en 2008. En dépit des vœux de l’opinion publique, des experts et d’une partie de la classe politique, le néocapitalisme continue de s’opposer victorieusement à tout retour de la réglementation. Les G7, G8, G20 en ont été pour leur frais. Jamais la domination du secteur financier sur le secteur industriel, et du secteur économique sur le secteur politique et diplomatique, ne s’était affirmée avec une telle arrogance, malgré le discrédit des acteurs.

5. Dans les grands pays industriels, la financiarisation de l’économie s’est accompagnée d’une désindustrialisation délibérée et de la destruction d’emplois par millions.Désormais, le plein-emploi n’est plus recherché comme un objet de l’activité économique ; le chômage est devenu structurel ; le néocapitalisme s’est reconstitué une armée industrielle de réserve.

6. Le néocapitalisme a retrouvé ses instincts prédateurs longtemps endormis dans la recherche de la paix sociale. Les dirigeants des grandes entreprises partagent désormais la mentalité des actionnaires. Il s’agit pour eux de se vendre le plus cher possible et d’accumuler en quelques années, parfois en quelques mois, des fortunes colossales. La rémunération des dirigeants, longtemps marginale dans le chiffre d’affaire des entreprises, est devenue un poste considérable. L’explosion des bonus, parachutes, primes, indemnités de toutes sortes a décuplé en une vingtaine d’années. Le continuum des rémunérations a fait place à une société de corps séparés et de privilèges, telle qu’elle existait en France à la fin de l’Ancien Régime.

7. Privés de toute perspective d’avenir, de tout projet positif, les syndicats se sont repliés sur une posture purement défensive de préservation de l’emploi et des rémunérations.Les grandes entreprises ont éliminé toute concertation globale et, dans le meilleur des cas, regardent les syndicats comme des auxiliaires utiles dans le maintien de l’ordre social. En perte de vitesse auprès de leurs adhérents, ceux-ci se trouvent marginalisés dans le nouvel ordre économique. Nous vivons un véritable réensauvagement des rapports sociaux.

8. L’Europe, qui, à cause des positions de ses deux nations de tête, l’Allemagne et la France, aurait dû jouer un rôle de contrepoids aux tendances hyperlibérales du capitalisme anglo-saxon, a failli complètement, au chapitre économique comme au chapitre politique. Conduite par des politiciens médiocres et sans vision, elle s’est faite l’instrument docile des tendances les plus dérégulatrices du capitalisme international. Cette véritable forfaiture explique le discrédit qui la frappe dans les classes populaires de tous les pays membres.

9. A l’échelon politique national, la deuxième gauche, qui s’était donné pour mission la modernisation économique et culturelle de la France, grâce à la participation de la société civile à la décision politique, représente une voie désormais dépassée. Elle reposait sur la notion de compromis social, c’est-à-dire la négociation entre les principaux partenaires économiques. Cette voie contractuelle a été délibérément bafouée par le néocapitalisme qui, assuré de la victoire, a préféré l’affrontement. C’est la fin de l’idéal d’une société policée, soucieuse d’affermir le lien social. Quelques-uns des membres les plus éminents de la deuxième gauche se sont fait les auxiliaires du pouvoir sarkozien : c’est dire l’étendue de leur renoncement et de leur faillite.

10. Le risque actuel, c’est un nouveau populisme. Le prolongement de la crise, désormais probable, notamment sous la forme du chômage, crée un trouble politique profond. A la différence de celle de 1929, où la faillite du libéralisme conduisait la droite à envisager des solutions fascistes et la gauche des solutions communistes, le monde politique est aujourd’hui muet. Il en va de même des intellectuels chez qui les droits de l’homme et l’écologie constituent des religions substitutives de salut. L’absence de solution politique favorise le développement de dérives psychologiques : l’envie, la haine de l’autre, le culte du chef, la recherche du bouc émissaire, le culte de l’opinion publique à l’état brut représentent autant de succédanés au vide politique béant de la période.

11. Les droits de l’homme ne sont pas une politique. Ils sont un problème ; non une solution. Ils sont une exigence nouvelle de la conscience internationale ; mais ils tardent à se concrétiser dans un mouvement politique cohérent. D’autant plus que l’alliance traditionnelle entre le libéralisme économique et le libéralisme politique est en train de se déliter. La Chine donne l’exemple inédit d’un grand marché libéral gouverné par une dictature politique intransigeante. La bataille pour les droits de l’homme est de tous les instants ; mais elle a besoin de s’inventer dans une politique internationale nouvelle.

12. L’écologie n’est pas une politique. Pour le système industriel, la défense de l’environnement n’est pas à l’échelle macroéconomique une solution à la crise et au chômage, mais une contrainte supplémentaire. Pas plus que l’informatique hier, elle ne saurait répondre aux problèmes posés par la financiarisation de l’économie et l’absence de régulation à l’échelle internationale. Elle tend à rendre plus coûteuse et plus difficile la relance économique nécessaire pour donner du pain et du travail aux habitants de la planète. L’écologie demeure bien entendu une préoccupation nécessaire ; une ardente obligation économique et sociale, non le prétexte à des opérations politiciennes.

13. La révolution n’est pas une politique. Aussi longtemps que le socialisme centralisé n’aura pas apporté la preuve qu’il pouvait changer le modèle de développement sans attenter aux libertés civiques, il restera inacceptable, et du reste inaccepté par les citoyens. Le piétinement des partis révolutionnaires, incapables de trouver une base de masse dans les milieux populaires, en fait l’expression de la mauvaise conscience, voire de la conscience mystifiée des nouvelles classes moyennes. Ils sont l’une des formes principales, insuffisamment soulignées, de la démobilisation de l’électorat de gauche. Face au néocapitalisme, le gauchisme ancien n’a strictement rien à dire.

14. Pour autant, l’antisarkozysme ne saurait être une solution. Le sarkozysme est un étrange corps mou et caoutchouteux. Elu sur une campagne hyperlibérale, Nicolas Sarkozy s’est retrouvé sur des positions dirigistes deux ans plus tard. Favorable à un rapprochement avec l’Angleterre, il a fini comme ses prédécesseurs par privilégier l’alliance avec l’Allemagne. «Américain» au temps de George W. Bush, il a fini par incarner les velléités de résistance européenne à l’hégémonie américaine. Son évolution actuelle, qui n’est pas sans rappeler le bonapartisme de Napoléon III, en fait une silhouette mouvante et une cible illusoire.

15. L’alliance exclusive avec le centre ne saurait être une solution. Le programme d’un regroupement centriste ne serait guère différent des pratiques politiques de Nicolas Sarkozy depuis le déclenchement de la crise économique : ce serait celui de l’aile éclairée du néocapitalisme, sans influence sur le cours des événements. Sa base sociale se révélerait vite des plus étroites. Sa cohérence ne résisterait pas à l’exercice du pouvoir. Pour autant, l’évolution d’une grande partie de l’électorat centriste doit être prise en compte. Pour des raisons politiques, sociales, mais aussi culturelles, il est en train de se détacher du principe jusqu’ici immuable de l’alliance à droite.

16. Pour les mêmes raisons, la gauche ne saurait être représentée, lors de l’élection présidentielle, par un représentant de l’establishment financier. L’élection d’un tel candidat, incapable d’établir un rapport de forces avec les représentants du milieu dont il serait issu, conduirait aux mêmes impasses et aux mêmes désillusions que l’alliance centriste. Le candidat de la gauche doit être porteur d’une solution alternative.

17. L’avenir est à un grand rassemblement populaire, ouvert à toutes les forces hostiles au néocapitalisme, du centrisme à l’extrême gauche, décidé à installer un nouveau rapport de forces au sein de la société. Au fur et à mesure que la crise développera ses effets, la nécessité d’un tel rassemblement s’imposera davantage. Elle ne pourra se réaliser uniquement à partir de combinaisons d’appareils ; c’est la société qui doit l’imposer à ceux-ci. La nature de ce rassemblement sera évidemment d’essence réformiste et se pensera au sein de l’économie de marché. L’avenir est à une social-démocratie de combat.

18. Le facteur déclenchant pourrait être la constitution d’un bloc syndical, doté d’un programme d’urgence. Les clivages syndicaux actuels sont des héritages de la guerre froide, que seule la tendance des appareils à se reproduire à l’identique continue d’imposer. A défaut d’une unité organique qui est l’objectif à moyen terme, un pacte d’unité d’action s’impose. Il ne devrait pas se limiter à des objectifs purement défensifs, mais ambitionner, comme à la Libération, une réforme en profondeur des structures financières et économiques du pays. Ce nouveau bloc devra envisager la coordination de son action à l’échelle internationale, et d’abord européenne.

19. Le premier objectif du rassemblement populaire doit être la maîtrise du crédit, au moyen de la nationalisation, au moins partielle, du système bancaire, qui est à la source de la crise actuelle. Telles qu’elles fonctionnent actuellement, la plupart des banques ont déserté leur mission essentielle, à savoir la collecte des capitaux au service de l’expansion économique, au profit d’activités purement spéculatives et nuisibles. Le but de la nationalisation est de ramener le système bancaire à sa fonction productive.

20. La destruction de toute forme de planification indicative et de toute politique industrielle, en un mot de toute espèce de régulation, est l’une des causes principales des dérives que nous connaissons aujourd’hui. La nécessité de rétablir une régulation économique respectueuse du marché est aujourd’hui comprise de tous. Seuls manquent pour le moment la volonté politique et les moyens de l’exercer. Il appartient à un rassemblement démocratique de les faire apparaître.

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20 janvier 2010 3 20 /01 /janvier /2010 14:19
Monsieur BENARIOUA ,Conseiller Général et Conseiller Municipal, a eu le plaisir de partager un repas avec les adhérentes de l'Association SHEBA. Cette association a pour objectif de faire "sortir les mères et filles" de leurs quartiers et de leur proposer rencontres et échanges culturelles.


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Accompagné par des amies et son épouse Monsieur BENARIOUA a voulu ce moment fraternel et chaleureux.



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Ce repas s'est terminé par une prestation ( danse orientale) appréciée de toutes et surtout de tous...


Rébia BENARIOUA






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19 janvier 2010 2 19 /01 /janvier /2010 14:38

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Comme on peut le voir sur cette photo notre élu Rébia BENARIOUA  a accueilli chaleureusement nos Séniors au Pasino d'Aix pour un repas entre amis.

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Ainsi, ce jour là l'ensemble des clubs d'entraide situés sur le 15ème et 16ème arrrondissements étaient présents.

Pour ce qui est des clubs situés sur le canton de Mr BENARIOUA, étaient présents ce jour les clubs de St Antoine, la Martine et Borels Savine.



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Avant de vous souhaiter une nouvelle fois la Bonne Année, puisqu'on est encore dans les temps, bonne chance à vous Mesdames...

A bientôt


Rébia BENARIOUA
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14 janvier 2010 4 14 /01 /janvier /2010 14:17

Voici en quelques photos mes chers amis qui ensemble avons pris ce chemin qui est celui de la lutte pour nos idées.

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Sans être exhaustif voilà ces travailleurs de l'ombre sans qui aucune de mes actions ne pourrait aboutir.

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Je voulais par ce repas vous remercier et honorer notre amitié et le travail que l'on effectue chaque jour ensemble.



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Alors Merci encore et à bientôt

Rébia BENARIOUA
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14 janvier 2010 4 14 /01 /janvier /2010 08:58
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Monsieur BENARIOUA, Conseiller Général du Département des Bouches du Rhône, a été l'invité d'honneur du Centre Social les Bourrely.


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Ce fût l'occasion en plus de partager un goûter, d'échanger et de discuter sur autant de sujets qu'il y avait de convives.
On attend donc avec impatience la prochaine rencontre....

Rébia BENARIOUA. 

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